Tout est si fragile.

Réflexions#3.

« Amour, amour, quand tu nous tiens, on peut bien dire : Adieu prudence. »

Sans doute le plus grand de mes torts. Oui, le plus grand.
En fait, plus j’avance, et plus je ne cesse d’être terriblement déçue. Je me remet tout de même en cause, pour essayer de mieux comprendre ce qui ne va pas.
Mais sincèrement, je ne comprend plus.

Je me plonge instantanément dans la Littérature pour oublier, ne serait-ce que pour oublier tout ce qui m’entoure un seul instant.
J.R.R.Tolkien, ô grand génie, je ne te remercierais jamais assez !

Faute de pouvoir Vivre pleinement dans mon monde, je tente de m’échapper vers d’autres horizons. Imaginaires.
Et au final, je me demande si je ne suis pas là par erreur, si je ne me suis pas trompée de monde. Sincèrement, qu’est-ce que je fou ici ?
Bref.

Rien ne me semble stable, je crois que j’ai besoin de reprendre pied auprès de quelqu’un.
Je tente désespérément de me dire chaque jour qu’il y a finalement de bonnes choses à vivre ici, et que je ne suis pas prête à partir, tant que je n’ai pas accomplis ce que je désirais le plus au monde.

Mais pour ce soir, je retourne dans mes livres.