Pensées nocturnes [...]
Dans le silence absolu, je me demande à quoi tu penses. Parfois, en cachette, je perçois un léger sourire, qui disparaît presque lorsque je le devine, comme un secret. Tout est proche et loin à la fois. J'ai comme le sentiment que tu ne peux plus être toi-même depuis plusieurs semaines, et honnêtement je le comprend. Les nuits doivent être courtes, les journées compliquées. Je me demande à quoi tu penses. (...)