Karma.
Regard en arrière [...]
Un jour tu te réveilleras un matin avec un déclic affreux. Tu te rendras compte que tu as tout perdu, que cette vie de débauche dans cet appartement miteux avec ces abrutis ne te convient plus, que tout ceux qui t’ont tendu la main sont partis, fatigué de se faire avoir.
Ce matin là tu ne pourras pas revenir en arrière, reprendre les mots affreux que tu nous as jeté au visage, reprendre les remarques et gestes obscènes, déjà loin derrière.
Ce matin-là, ce sera trop tard.
Je sais que j’ai jeté une bombe, je finirais sans doute par le payer mais je ne regrette rien. Tu as beau sourire, ton regard me dit autre chose. Tu es pleine de haine.
Tu me déteste. Tu m’as toujours détesté.
Je ne suis qu’un "intérêt" pour toi. Et hier j’ai dis stop, quitte à déclencher une guerre.
Je m’en fiche.
Tu cours à ta perte, il faut croire que cela te plaît. Tant pis.
Coule.