Tout est si fragile.

[…]

Aujourd’hui ton nom m’a été évoqué, et je n’ai rien ressenti. Je crois que mon deuil est bientôt terminé.
Ce soir j’ai fais le gros ménage dans mes textos, chose que je n’avais pas faite depuis 2 ans, et je suis retombée sur nos conversations. Malgré ces smiley, malgré les mots échangés, une seule chose m’a sauté aux yeux : J’étais toujours la seule à te contacter et à prendre des nouvelles. Toujours. Cela ne me sautait pas aux yeux pendant ces années, jusqu’à l’année dernière, jusqu’à notre jour.
J’ai réalisé beaucoup de choses, bien après. Je déteste la manière dont cela s’est terminé, même si je ne peux pas qualifier cela de « fin ».

Tellement de choses sont arrivées cette année …

C’est sans doute cette récente et sombre période qui m’a fait relativiser sur beaucoup de choses. Je n’ai clairement pas le temps pour ces conneries, ni même l’envie de me battre.

J’ai enfin avancé.