Fight Fire with Fire.
«Les larmes sont un don. Souvent les pleurs, après l’erreur ou l’abandon, Raniment nos forces brisées.»
J’aimerais y croire, en toute sincérité.
C''est plus compliqué que prévu.
Mais j’en ai marre d’être assise sur ce banc. Je vais me lever.
Car au final c’est sans doute la seule chose à faire.
Plus j’y réfléchis, et plus je me dis que le fait d’abandonner quelqu’un est… Tellement facile. Tellement lâche aussi.
Sincèrement, je ne comprend pas. Je n’arrive vraiment pas à comprendre, et plus j’y réfléchis, plus mes idées sont floues. Surtout lorsque qu’il n’y a pas d’explications. C’est sans doute cela qui m’a le plus tué.
Bref.
Fight Fire with Fire.
C’est sans doute la meilleure des solutions.
Je me demande sincèrement comment est-ce que l’on peut laisser quelqu’un derrière soi, en sachant que l’on a partagé des moments formidables avec cette personne.
Comment peut-on abandonner un ami ?
Comment peut-on abandonner un enfant ?
Comment peut-on abandonner un parent ?
Comment peut-on abandonner quelqu’un que l’on aime ?
Il existe sans doute des cas mis à part, mais je fais une généralité. Je m’en excuse d’ailleurs.
M’enfin. Toujours pareil, toujours la même chanson.
Je n’attend plus rien dorénavant.
Enfin, il faut avancer. Car rester sur place n’est jamais bon. Bien au contraire.
Ce qui m’aide, c’est le fait de pouvoir avoir de réelles motivations au niveau du poids, mais aussi au niveau de mes travaux.
En fait, il faut lutter pour ses idées.