Tout est si fragile.

Réflexions#22

"Perdre, c’est connaître le vide."

Étrange sentiment que j’éprouve aujourd’hui. Enfin, cela ne date pas d’aujourd’hui, cette sensation me fait l’honneur de sa présence depuis bien plus longtemps, m’enfin...

Je me demande comment est-ce qu’il s’y prend. Comment fait-il pour ne pas ressentir cette sensation de vide, ce cruel manque de joie de vivre… Peut être est-il Heureux, tout simplement ? Heureux de ce qu’il est, de ce qu’il a... ?

Je pense plutôt à un blocage. Quelque chose qui me retient, quelque chose qui me crève… C’est drôle, je pense avoir une idée de ce dont il s’agit. Sérieusement ? Je n’en peux plus.
Cette notion de "Beauté" me ronge aussi. A partir de quel moment peut-on considérer qu’une femme est belle ? Qu’est-ce "qu’être belle" exactement ?
Une femme "belle", est une femme qui se sent bien dans sa peau, et dans sa tête.
Hum. A méditer.

Plus sérieusement, j’essaye de faire des efforts. Et oui, encore. Essayer de combler ce vide. C’est un combat constant, il ne faut jamais baisser les bras.
Voilà bientôt deux mois qui ce sont écoulés depuis la rentrée. Deux mois. Déjà.

Je bloque un peu face à cette page blanche… Des idées me traversent l’esprit, mais je ne sais pas réellement quoi écrire, dans quel ordre, et surtout, pourquoi est-ce que je les écris.

Dans tous les cas je me sens réellement merdique, je n’ai envie de rien faire. Hallucinant.
J’ai ce rdv mardi à la mission locale, j’espère de tout cœur que l’on pourra m’éclairer.

Dans l’absolu je n’ai plus envie d’écrire… Pas envie d’en dire plus.

A quoi bon après tout ?