Tout est si fragile.

Comme un poids.

«Un régime, c’est la courte période de privations qui précède une augmentation de poids.»

Ce truc ne marche pas. C’est quand même dingue quand j’y pense...
Ces temps-ci je vois pas mal d’écrits qui font référence au poids, aux problèmes alimentaires.
Et je comprend parfaitement.

L’été arrive, sans doute la plus grande période d’angoisse de l’année. Période des shorts, des maillots. C’est ce que j’appelle "période d’exhibition." Fantastique.
Cela fait un peu beaucoup non ? Entre le fait de… Hum. Non rien. Pas mal de choses qui s’accumulent. Bref !

C’est un sacré mal-être quand même. Le fait de s’accepter. C’est un réel travail sur soi-même.
Malheureusement cela peut prendre beaucoup de temps, et au bout de nombreux efforts on y arrive enfin. J’ai connu ça, mais c’était il y a un bon moment maintenant.
Là où repose véritablement le problème, c’est que ce mal-être nous ronge tellement, qu’au final ce n’est plus une simple barrière à laquelle l’on doit faire face, mais un mur. Un mur bordel, un MUR.

Et c’est ainsi que commencent les conneries. Bravo.

Non pas que je n’en ai pas fait, bien loin de là, je continue d’en faire d’ailleurs. Mais que voulez-vous ? Cela peut fonctionner.
C’est quelque chose d’assez indescriptible quand même. Au final avoir des kilos en trop peut réellement nous gâcher la vie. En Amour essentiellement, mais je ne vais pas m’éterniser là-dessus. C’est toujours la même chose, c’est toujours le même air de toute façon.

Que dire de plus ? C’est difficile d’avoir une bonne vision des choses lorsque tout s’écroule.
Tout est fragile.
C’est peut être une réaction égoïste, mais c’est vrai que nous avons besoin de se faire aimer pour s’aimer soi-même. Après tout, chaque individu dépend d’autrui. Nous sommes tous indispensable. Qu’importe notre physique, à la merde tout ça, on s’en fou.

Rien n’égalera notre beauté d’Esprit, notre façon de penser, c’est ça le plus important. Du moins, c’est ce que je pense. Après, tout le monde n’est pas du même avis bien évidemment.
Ah, je suis désolée, tout est un peu confus. J’ai du mal à écrire mes idées.

Enfin… Je sais que la route sera longue et compliquée. Mais je m’accrocherai.
Malgré toutes ces pensées négatives et pessimistes, je tiens tout de même à conserver cette conviction que, quelque part, il existe quelqu’un qui nous comprendra mieux que quiconque au monde.

Cette personne vous attend, allez donc la rejoindre. Faites chaque jour un pas de plus vers elle.